Film qui contraste dans la production coloniale d’alors car l’ambition documentaire et ethnographique prévaut, sans effet visant à ridiculiser les protagonistes ou à créer du spectaculaire, ce qui revient au même.

Le film est construit selon la règle des trois unités, : unité de temps, de lieu et d’action, soit une journée, du matin au soir, le désert et les festivités.
A partir de ce récit nous découvrons le caid, ses invités et les danseuses.
La caméra est le plus souvent frontale, parfois dissimulée dans la tente, pour une mise en scène théâtralisée et didactique, recourant parfois au gros plan sur des détails comme les bijoux par exemple, afin de souligner l’information.